© D.R
Dans ce quartier du vieux Rangoun, tout au long des petites rues qui bordent le marché Bogyoke Aung San, on entre soudain dans un pays mystérieux et magique, hors du monde et de la réalité: celui des livres!
Ici, ils sont chez eux! Il y en a partout! Dans d'étroites boutiques surchargées, sur d'innombrables tréteaux brinquebalants ou posés à même le sol, sur des tissus de toutes les couleurs.
Ils sont là par centaines, par milliers, par dizaines de milliers, empilés les uns sur les autres dans des pyramides surprenantes, défiant les lois de l'équilibre et de la pesanteur!
A Pansodan Street, à la hauteur de Merchant Street et de Mahanbandoola Road, un vieux Birman est installé sur une chaise devant un incroyable amoncellement d'ouvrages. Il lit tranquillement. Et sourit.
Plus loin, c'est un adolescent que l'on découvre allongé à plat ventre à même le sol, plongé dans un livre. Après l'avoir acheté, sans doute n'a-t-il pas pu attendre de rentrer chez lui pour le lire.
Là-bas, entre Shwebantha Street et la 30ème Street, des dizaines de Birmanes et de Birmans discutent paisiblement littérature autour d'un stand. Tous sourient.
Ici, ils sont chez eux! Il y en a partout! Dans d'étroites boutiques surchargées, sur d'innombrables tréteaux brinquebalants ou posés à même le sol, sur des tissus de toutes les couleurs.
Ils sont là par centaines, par milliers, par dizaines de milliers, empilés les uns sur les autres dans des pyramides surprenantes, défiant les lois de l'équilibre et de la pesanteur!
A Pansodan Street, à la hauteur de Merchant Street et de Mahanbandoola Road, un vieux Birman est installé sur une chaise devant un incroyable amoncellement d'ouvrages. Il lit tranquillement. Et sourit.
Plus loin, c'est un adolescent que l'on découvre allongé à plat ventre à même le sol, plongé dans un livre. Après l'avoir acheté, sans doute n'a-t-il pas pu attendre de rentrer chez lui pour le lire.
Là-bas, entre Shwebantha Street et la 30ème Street, des dizaines de Birmanes et de Birmans discutent paisiblement littérature autour d'un stand. Tous sourient.
On l'appelle “la rue des livres qui sourient”...
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De tout temps, les Birmans ont été de grands lecteurs et de passionnés amis des livres. Et quand la dictature militaire croyait pouvoir leur imposer la censure, ils continuaient assidûment de lire en cachette.
Le soir tombe sur Bogyoke Aung San et les bouquinistes sont toujours là, sourire aux lèvres, devant leurs fascinants et mystérieux étals.
Parfois, on croit voir une ombre se faufiler furtivement entre deux stands de livres... Certains racontent que c'est le fantôme de l'écrivain Georges Orwell qui a vécu de longues années en Birmanie et qui venait souvent flâner dans “la rue des livres qui sourient”...
Bien à toutes et à tous et que vivent les livres et les Lumières!
A partager le plus largement possible, mes amies et amis!
Partager, c'est déjà agir.
Pierre MARTIAL
Le soir tombe sur Bogyoke Aung San et les bouquinistes sont toujours là, sourire aux lèvres, devant leurs fascinants et mystérieux étals.
Parfois, on croit voir une ombre se faufiler furtivement entre deux stands de livres... Certains racontent que c'est le fantôme de l'écrivain Georges Orwell qui a vécu de longues années en Birmanie et qui venait souvent flâner dans “la rue des livres qui sourient”...
Bien à toutes et à tous et que vivent les livres et les Lumières!
A partager le plus largement possible, mes amies et amis!
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Pierre MARTIAL
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